Stellantis accélère dans la production « made in France » de moteurs électriques

Le groupe automobile franco-italo-américain Stellantis annonce le début de production de ses nouveaux moteurs électriques M2 et M4 au sein de son usine de Metz-Trémery, symbole de sa transition énergétique. 

La transition énergétique est quelque chose de tangible au sein de l'usine Stellantis de Metz-Trémery. Créé en 1979 par les marques Peugeot et Citroën, sous la bannière de la Société mécanique automobile de l’Est, le site abandonne peu à peu depuis 2019 la production de blocs diesel HDi puis BlueHDi (et dans une moindre mesure de blocs essence PureTech) afin de se concentrer sur la production des moteurs électriques montés sous le capot des dernières nouveautés de six des quatorze marques du groupe dirigé par Carlos Tavares. 

Un acteur clé de la stratégie d'électrification du groupe

Initialement chargé de la production des moteurs électriques M3 (jusqu'à 125 kW), montés sur les modèles citadins comme les DS 3 E-Tense, Peugeot e-208 et Peugeot e-2008 ou encore les Opel Corsa Electric et Opel Mokka Electric, le site de Trémery est désormais également le lieu de production des nouvelles machines M4. 

Plus puissantes (jusqu'à 210 kW) ces dernières sont implantées sous le capot des Peugeot e-3008 et Peugeot e-5008 (et prochainement sous celui du futur Opel Grandland Electric).

L'usine Stellantis de Trémery dotée d'une capacité de production d'un million de blocs par an, est également le lieu d'origine du plus modeste bloc M2 (jusqu'à 90 kW) animant la nouvelle Citroën ë-C3 et l'Opel Frontera Electric.

 

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